Revue des Mines : Interview d'Avencoriens
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Une approche holistique et un regard neuf pour conseiller les industriels (dans La Revue des Mines)

 

Découvrez l’interview de deux consultants Avencore parue dans La Revue des Mines:

Comment redresser un grand programme industriel ? Quels leviers activer en cas de crise énergétique et géopolitique ? Comment s’imposer sur un nouveau segment de marché ? 

Ce sont les questions que se posent au quotidien les consultants d’Avencore, cabinet de conseil spécialisé dans l’industrie. Rencontre avec Natacha Bunel (P15) et Ilyès Methia (P17), deux de ses seniors consultants.

 

Ilyès Methia, Manager
Natacha Bunel, Manager

La Revue des Mines : Quel est le positionnement d’Avencore et sur quelle typologie de projets opérez-vous ?

Ilyès Methia : Notre positionnement est simple : nous aidons nos clients à améliorer leur compétitivité. Depuis 2009, Avencore œuvre exclusivement dans l’industrie, un secteur où les enjeux de transformation sont importants. Nous intervenons aussi bien dans l’industrie manufacturière, les énergies conventionnelles et renouvelables, la construction, que sur des programmes spatiaux ou de défense. Nous accompagnons les entreprises du CAC 40 comme des start-ups. Nos activités sont essentiellement en France mais aussi en Amérique du Nord, en Asie et en Allemagne où l’industrie est très dynamique. Quel que soit le secteur ou le client, nous proposons des solutions sur-mesure et nous recherchons des résultats mesurables et durables.

Natacha Bunel : Avencore est à mi-chemin entre les cabinets de conseil en stratégie et ceux en management. Nous créons un pont entre des décisions prises au plus haut niveau et les opérationnels. C’est d’ailleurs ce qui rend le métier si intéressant : nous interagissons avec tous les niveaux de l’entreprise et nous devons comprendre les besoins et contraintes de chacun. Concrètement, nous travaillons sur l’amélioration des processus, la réorganisation de business unit, la rentabilité des produits complexes ou la transformation digitale des usines. Nous avons également de plus en plus de projets de décarbonation.

Sur les sujets de décarbonation, comment répondez-vous aux problématiques des clients ?

N. B. : Les processus de nos clients sont fortement consommateurs d’énergie et impactés par la crise. À ces préoccupations majeures s’ajoute l’obligation de répondre au cadre législatif qui impose un bilan de gaz à effet de serre à toutes les entreprises de plus de 500 salariés. Nous mettons en place les leviers les plus efficaces visant à réduire leurs émissions et à les emmener au-delà de l’obligation légale. Nous les accompagnons jusqu’à la mise en place des plans d’action, avec éventuellement une réintervention pour un bilan après un an. Ce que nous constatons, c’est que les projets de décarbonation sont très proches des sujets d’amélioration de la compétitivité économique. Nous changeons une cible « € » en une cible « kgCO2 » mais la méthode est comparable : analyse approfondie des émissions, séances de créativité pour des leviers innovants de réduction, comparaison au benchmark, etc.

I. M. : Nous travaillons aussi plus largement sur l’accélération de la transition énergétique et le développement des énergies renouvelables. Si je ne devais citer que 3 projets :

  • Réduction des coûts et amélioration de la compétitivité de la plus grande éolienne du monde ;
  • Renforcement du design de nouvelles technologies industrielles d’hydrogène visant à améliorer son rendement de production ;
  • Réduction des CAPEX et OPEX des sources d’énergie utilisées dans la transition énergétique (nucléaire et énergies renouvelables).

Comment déployez-vous vos solutions sur les différents continents ?

I. M. : Les 120 consultants Avencore, tous ingénieurs (Mines, Polytechnique, CentraleSupelec, Arts et Métiers pour ceux basés en France) mettent en place des plans d’action techniques concrets. Les équipes d’intervention réparties sur 5 bureaux dans le monde sont adaptées selon les projets. Pour une mission ponctuelle, nous sommes 3 à 4 personnes (Consultant junior/senior, Manager et Partner). Pour les grands programmes industriels de redressement dans des organisations de 10 000 à 100 000 personnes, nous pouvons avoir des équipes plus conséquentes et intervenir plus longtemps auprès du client. Chaque bureau travaille sur des enjeux spécifiques liés au pays mais le partage d’expertises entre consultants est continu afin de capitaliser sur les connaissances.

N. B. : Le modèle d’Avencore est le travail en immersion et l’agilité des équipes. Selon les projets, elles peuvent s’étoffer à tout moment, en nombre de consultants comme en expertises spécifiques. Nous sommes généralement 2 ou 3 jours par semaine dans l’environnement client et nous sommes amenés à changer de région ou pays selon les missions. Depuis Paris, nous travaillons beaucoup avec nos collègues allemands mais aussi avec le bureau de New York en distanciel.

Pourquoi avoir choisi le monde du conseil ?

I. M. : Après un passage dans la finance, j’ai souhaité renouer avec les racines industrielles et techniques qui nous sont données aux Mines de Paris. Ma soif de connaissances et mon envie de me diversifier ont également guidé mon choix. Je passe de l’énergie au spatial, de missions en France à l’international, de start-up au CAC 40. Le conseil permet de monter rapidement en compétences et en responsabilités.

N. B. : J’apprécie le fait d’être challengée et stimulée intellectuellement sur chaque projet. Les perspectives d’évolution proposées par les grands groupes industriels français n’étaient pas suffisamment rapides pour moi et je recherchais aussi le contact client. Dans le monde du conseil, nous sommes plus force de proposition et nos idées sont rapidement actionnées. L’impact de notre travail est visible et mesurable, c’est une réelle satisfaction.

Pourquoi Avencore ?

N. B. : J’ai choisi Avencore pour renouer avec le concret qui me manquait dans le conseil en stratégie dans lequel j’ai débuté ma carrière. La promesse d’Avencore d’œuvrer sur des problématiques opérationnelles, d’agir pour l’industrie française et européenne est parfaitement respectée. L’esprit d’équipe est réel et procure un sentiment d’appartenance au cabinet comparable à celui des Mines Paris.

I. M. : J’ai privilégié Avencore à de plus grands cabinets pour sa forte croissance à laquelle je peux contribuer. Mon travail a un impact direct sur la performance financière des entreprises industrielles et sur le développement du cabinet. J’ai trouvé le moyen de garder cette casquette entrepreneuriale qui me fait vibrer et de m’impliquer sur divers aspects (coaching, formation, recrutement, commercial). Et comme le souligne Natacha, j’y retrouve également certains aspects plaisants de notre petite promotion soudée des Mines de Paris, comme l’accompagnement très exigeant et bienveillant.

Quels messages souhaitez-vous faire passer aux diplômés des grandes écoles qui envisagent une carrière dans le conseil ?

N. B. : Je leur suggère de s’entretenir avec des alumni qui sont dans le conseil ou y sont passés. Ils se feront ainsi une idée précise du quotidien qui les attend. Je conseille aux ingénieurs hésitants de tenter l’expérience qui en vaut vraiment la peine. Le conseil est formateur et les compétences développées sont extrêmement valorisées en entreprise.

I. M. : Le secteur du conseil est vaste, chacun doit privilégier le modèle qui lui correspond. Avencore est idéal pour les diplômés qui souhaitent allier projets concrets, impact visible dans les programmes majeurs de réindustrialisation, et équilibre de vie professionnelle – personnelle.

 

Dans La Revue des Mines en Décembre 2023

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